Hypothèse de travail
  L’idée de chercher des cristaux de magnétite aux points d’acupuncture paraît logique.
Il ne s’agit plus de rechercher ces concentrations métalliques permettant l’orientation dans le temps et dans l’espace comme pour l’animal. Chez l’homme, le point d’acupuncture serait une réserve naturelle d’énergie, une sorte de pile ou de batterie pouvant être rechargée extérieurement par l’aiguille d’acupuncture qui y serait implantée. La stimulation par l’aiguille du point d’acupuncture agirait comme si elle chargeait un accumulateur ou un condensateur électrique. Cette aiguille est elle-même une réserve d’énergie, même minime, dans la mesure ou elle canalise le champ magnétique terrestre et que le fil de cuivre entourant le manche peut être considéré comme un Solénoïde. L’aiguille ainsi considérée est une antenne de réception des ondes électromagnétiques environnantes. Cette théorie de la batterie rechargée par l’aiguille permet d’expliquer qu’il se passe parfois quelques semaines entre les séances d’acupuncture et la guérison obtenue par les aiguilles.
  Théorie de la présence de magnétosomes aux points d’acupuncture
 

Les magnétosomes ou cristaux de magnétite (Fe3O4) représentent un système de type condensateur électrique et/ou parallèlement une réserve de type « coenzyme métallique » nécessaire à toute réaction enzymatique (Ex : Zn pour l’insuline). Ils sont présents de façon naturelle chez tous les individus.
La fonction de l’aiguille est de stimuler électromagnétiquement les «magnétosomes » présents en grande quantité au point d’acupuncture. Ils sont réorientés dans un sens ou dans le sens inverse selon les théories de la Tonification et de la Dispersion. L’aiguille enlevée, ce point distribue, dans le temps, cette énergie emmagasinée lors de la séance d’acupuncture.

L’onde électrique du cœur QRST (la plus importante des stimulations électriques des être vivants) fournit l’énergie nécessaire pour une «décharge » progressive du point et pour des effets bénéfiques sur une pathologie. Ainsi plusieurs séances d’acupuncture sont souvent nécessaires afin de « recharger » le point.
L’onde électrique du cœur QRST est une onde électromagnétique.

  1/ Hypothèse
L’onde QRST restant constante on peut supposer que la forme de l’onde émise sera différente à la sortie d’un point d’acupuncture stimulé (par résonance de l’onde sur une structure métallique). Cette hypothèse pourrait être vérifiée en multipliant les prélèvements aux points d’acupuncture et en y découvrant des métaux différents en quantité ou en qualité (ex : Fe, Zn, Cu, etc..).

Ainsi chaque point aurait son propre « Spike » ou signal, différent de celui d’un point d’acupuncture voisin.
Tous les points d’acupuncture situés le long des méridiens seraient du type relais hertzien par le fait de l’onde électromagnétique émise se propageant de point en point.
Les méridiens d’acupuncture restent ainsi une entité virtuelle du point de vue scientifique. Dans cette théorie ils représentent le trajet préférentiel suivi par l’onde électromagnétique émise à partir du point d’acupuncture sous le contrôle de la centrale électrique principale : le cœur.

Pour chaque méridien la forme de la longueur d’onde émise serait différente et sera fonction du point stimulé.
Le système de stimulation des points d’acupuncture serait soumis à un double contrôle :
• un système électrique interne naturel et propre à tous les êtres vivants : le cœur.
• un système externe représenté par l’aiguille d’acupuncture, et la puncture du point (soit par stimulation manuelle soit par les stimulateurs d’acupuncture).

2/ Conclusion

* Le méridien est une entité virtuelle, non palpable, non visible et serait le trajet préférentiel d’une onde électromagnétique émise est partir du point d’acupuncture.
* Chaque point d’acupuncture d’un même méridien agirait comme un relais hertzien.
* Chaque point d’acupuncture émettrait à partir de son spike, une onde électromagnétique propre, à savoir chaque point donnerait une forme d’onde électromagnétique différente du point voisin.