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La
découverte des grains métalliques présents
en grande quantité aux points d’acupuncture permet
une approche scientifique du mécanisme de l’acupuncture.
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La théorie de l’aiguille
stimulant électromagnétiquement ces grains, et qui seront
ainsi réorientés dans un sens ou dans le sens inverse,
confirme le principe de la tonification et de la dispersion. |
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Le point d’acupuncture, stimulé
par l’aiguille agit comme une batterie électrique rechargeable,
continuant à se décharger de façon autonome dans
le temps, une fois l’aiguille enlevée. |
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Ceci explique : |
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1/ qu’il est souvent nécessaire
de pratiquer plusieurs séances en fonction de la pathologie
rencontrée.
2/ qu’une guérison peut être observée de
façon différée dans le temps par rapport aux
séances. |
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La présence indéniable
du Fe3O4, de structure de type magnétosomes ainsi qu’une
concentration d’autres métaux magnétisables permettra
peut-être une classification des points comparables à
celle qui existe en acupuncture à savoir points chauds, points
froids, points humidité etc.
Cette étude seule la microsonde permet de la faire. Il s’agit
d’un travail long et fastidieux.
Des études sur des sujets vivants, en utilisant la R.M.N. peuvent
être envisagées. |
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Les
médecins pratiquant l'acupuncture sont souvent des poêtes,
bercés par le INN et le YANG.
Mais
parfois ils cherchent des preuves scientifiques à leur art de soigner! |